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    La confiance en soi est un élément fondateur pour le bien être de la personnalité. La confiance en soi est un mélange subtil de la certitude d'être à sa place, de l'acceptation de soi tel que l'on est, la confiance en ses sentiments, ses aspirations et ses compétences.

    Elle se bâtit pendant l'enfance. Cependant toutes les expériences de la vie peuvent renforcer ou atteindre cette confiance. Les échecs, les drames, les blessures mettent parfois à mal cette confiance, même si elle a été bien construite.

    Un déficit de la confiance en soi peut entraîner des difficultés relationnelles ou un manque d'appétit face à la vie.

    En atelier "Confiance en soi", nous repartons à la découverte de notre identité, nous évacuons les jugements qui entravent notre marche, nous explorons nos aspirations, nos talents et nos valeurs, afin de pouvoir continuer notre route avec enthousiasme.


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  • Le terme consacré aujourd'hui pour parler des émotions est "la gestion" des émotions. Je trouve personnellement que ce terme est mal choisi car l'émotion n'est pas un capital à gérer mais un message à comprendre.

    L'émotion est un signal que notre corps nous adresse. Il est utile de savoir décrypter son message pour éviter les deux attitudes courantes en matière d'émotion : l'implosion ou l'explosion. Ces deux phénomènes sont aussi destructeurs l'un que l'autre.

    Comprendre le message de l'émotion et en utiliser les ressources est un défi auquel beaucoup de personnes sont confrontées sans savoir vraiment comment s'y prendre. Du coup, elles souffrent de leurs émotions et font parfois souffrir les autres, sans le vouloir.

    En atelier "Vivre en paix avec ses émotions" ou en accompagnement individuel, une personne peut apprendre à décoder le message de ses émotions et à les utiliser à bon escient. La paix intérieure peut alors se développer et la personne apprend à la maintenir, par une hygiène émotionnelle quotidienne.


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  • La nécessité de la connaissance de soi est soulignée depuis l'antiquité, tant par les philosophes grecs que par les pères de l'Eglise.

    La première classification connue, nous la devons à Hippocrate et Galien, selon les quatre "humeurs" du corps : la bile, la lymphe, le sang, l'atrabile.

    Puis jusqu'à la fin du XIXe siècle, l'étude du caractère est davantage l'apanage des écrivains que des scientifiques. Les observations de La Bruyère, Mme de Sévigné, Saint Simon, Molière, Bussy-Rabutin sont pleines de finesse.

    Au XX° siècle, la caractérologie s'est constituée petit à petit, avec des études scientifiques.

    C'est surtout Heymens et Wiersme qui ont mis au point une classification vers 1908-1909 à partir d'une enquête sur l'hérédité. Ils identifièrent trois facteurs. Le professeur Le Senne compléta ce travail puis d'autres chercheurs après lui.

    Aujourd'hui ces études ont permis de définir onze facteurs qui forment le caractère.

    Le caractère est solide et permanent et en même temps souple et évolutif. D'où l'intérêt de la connaissance de soi !           

    La connaissance de soi permet de se comprendre mieux et donc de mieux s'accepter. Puis elle permet de mieux accepter et comprendre l'autre. Elle donne des clés pour une saine direction de soi-même, car elle rend capable d'utiliser ses forces et de pallier à ses faiblesses. Lorsque je l'enseigne, les fruits sont toujours excellents autant pour les personnes que pour les familles. La connaissance de son caractère et de celui de ses enfants donne une plus grande pertinence éducative et une meilleure compréhension des enfants. La connaissance du caractère de son conjoint favorise l'accueil des différences et l'aide que l'on peut lui apporter pour son épanouissement.  


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  • Adèle Faber et Elaine Mazlish sont deux mères de famille qui ont participé à des rencontres de soutient pour les parents, lorsque leurs enfants étaient jeunes, avec le Docteur Ginott. Les changements positifs que ces rencontres ont induit dans leur vie les a conduit à en témoigner dans un livre "Parents épanouis, enfants épanouis."

    Puis elles ont écrit "Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent" ainsi que "Frères et sœurs sans rivalité ni jalousie". Ces ouvrages présentent une relation adulte-enfant lucide et respectueuse, empreinte de bienveillance et d'empathie. Les techniques présentées sont concrètes. Les bandes dessinées, ainsi que les nombreux exemples donnent aux livres un abord facile et pédagogique. C'est nourrissant pour un parent, parfois las ou découragé.

    Comme Adèle Faber et Elaine Mazlish avaient bénéficié de la richesse du soutien d'un groupe de parents et sachant que certaines personnes préfèrent apprendre en groupe, que seules avec un livre, elles ont lancé les ateliers correspondant à leurs ouvrages. Ceux -ci permettent, de s'approprier les habiletés grâce à des exercices concrets, en phase avec la vie quotidienne.

    Lorsque j'ai découvert l'existence de ces ateliers, j'ai été enthousiasmée. Ils correspondaient exactement à une idée que j'avais en tête. Je pensais que les parents avaient besoin d'un atelier de ce genre pour mettre en place dans leur quotidien des techniques de communications vues en formation. Je voulais en créer un lorsque je suis tombée sur les livres de Faber et Mazlish. J'étais en phase avec eux et les ateliers m'ont tout de suite séduite. Ils correspondent  à mon expérience et à ma manière de transmettre. J'apprécie la pédagogie développée dans ces ateliers.


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